Posées sur le chemin,
fraiches comme un sourire en habit de printemps,
les belles offrent le rouge de leurs fragiles coroles au caresse du vent .
fraiches comme un sourire en habit de printemps,
les belles offrent le rouge de leurs fragiles coroles au caresse du vent .
Aussi nu qu'un silence en habit de velours,
le pas léger des fleurs frôle le pied des vignes.
Dorées par le soleil, elles se laissent gouter.
Elles sont filles de la terre,
mues par cette tendresse rugueuse
si assoiffée d'amour, qu'elle nourrit le vol du papillon,
si affamée de lumière qu'elle orchestre la valse des abeilles .
le pas léger des fleurs frôle le pied des vignes.
Dorées par le soleil, elles se laissent gouter.
Elles sont filles de la terre,
mues par cette tendresse rugueuse
si assoiffée d'amour, qu'elle nourrit le vol du papillon,
si affamée de lumière qu'elle orchestre la valse des abeilles .
Les âmes se fondent en elles murmure le vent,
comme le chant des étoiles tisse le firmament.
comme le chant des étoiles tisse le firmament.
*
Eh ben dis donc, c'est bien joli tout ça, merci beaucoup.
RépondreSupprimermerci eipho :)
SupprimerComme un souffle de poésie, comme un p'tit coquelicot si tendrement.
RépondreSupprimerOui, parce qu'un coquelicot c'est beau !
SupprimerC'est beau ce que tu as écrit et les photos aussi !
SupprimerBelle soirée à toi
La grâce des coquelicots,
RépondreSupprimerc'est de se détacher d'un beau ciel rouge.
Bonne journée
ha, quand le ciel s'embrase !
Supprimermerci pour tes mots.
chaleureusement