Je me suis assise sous un arbre, tout près de l’araignée. Un rayon de soleil a transpercé sa toile et j'ai cueillis du regard, avec tendresse, cette présence amie qui croisait mon chemin. Pourtant cet être vivait dans son monde et je vivais dans le mien...J'ai détourné les yeux un instant pour regarder le ciel. Et lorsque mon regard de nouveau a cherché sa présence, elle avait disparue...Ne restait de la dame qu'un fragile voile d'argent tendu au dessus d'un lit de lierre, et le chant des cigales, et le souffle du vent.
Le monde et un et toi et l'araignée appartenez à la nature. Bises.
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